La technique choisie par l’entreprise spécialisée était une méthode mixte, combinant à la fois la force de flottabilité interne encore intacte de certains ballasts couplées à des forces de levage extérieure provenant de pontons bigues.
Un des tout premiers travaux pour les plongeurs scaphandriers en attendant l’arrivée des pontons bigues, consistait dès lors à obturer sous eau, toutes les ouvertures en liaison avec l’extérieur des ballasts.
Résultat, mise en place de pinoches en bois,
soudage de tapes pleines et canules d’injection d’air
et étanchement des trous d’accès à l’aide de résine.
Une fois ce boulot terminé, il fallait maintenant installer à l'avant et à l'arrière
l’ensemble des pompes qui allaient servir à vidanger les ballasts.
A suivre